O.G.M.
Entre craintes et espoirs
Claude Diaz, Docteur en Médecine
Les nouvelles protéines
seront-elles reconnues par nos cellules?
O.G.M. : ces trois lettres qui envahissent la planète au point
de la réduire à la dimension d’un jardin, ne laisseront plus
personne insensible. Généticiens, sociologues, écologistes,
agronomes, consommateurs... sont et seront au coeur de débats-spectacles,
le plus souvent sans réponse tant l'appréciation du risque
est divergente entre le public profane et les experts . Dans cette longue
liste d'intervenants, le médecin praticien, celui a qui l'on s'en
remet lorsque sa santé défaille, le dernier recours, n'est
guère sollicité. L'immunologie, discipline qui fouille les
secrets de notre système immunitaire, est en pleine expansion. Moins
médiatique que la génétique, elle est précieuse
pour le praticien et pour la santé du public. En soulevant un coin
de voile sur la compréhension des mécanismes de nombreuses
maladies, elle permet de soulager, voire de guérir ces maladies
pour lesquelles
la médecine ne trouvait aucune cause. Ce sont les maladies auto-immunes.
Les maladies auto-immunes
Quels rapport avec les O.G.M.? Un antigène est une substance
qui, introduite dans un organisme qui ne la possède pas, est capable
de déclencher une réponse immunitaire qui aboutit dans la
plupart des cas à la neutralisation de ce dernier. La stratégie
essentielle de la réponse immunitaire est la reconnaissance. Le
système immunitaire doit reconnaître un étranger parmi
les constituants propres de l'organisme, c'est-a-dire distinguer le non
soi du soi. La primauté de cette fonction est a l'origine des maladies
auto-immunes, maladies causées par le défaut de reconnaissance
du soi, dont les plus sévères peuvent être fatales.
Les antigènes sont presque toujours des protéines. Un organisme
est génétiquement modifié dans le but de fabriquer
de nouvelles protéines.
Pour le Dr Denise Anne Monoret-Vautrin (spécialiste de
l'immunité digestive a Nancy), ce n'est pas parce que l'on démontre
que les protéines du transgène sont détruites en quinze
secondes dans un modèle de digestion gastrique que tous les fragments
disparaissent dans la digestion intestinale et que l'on petit assurer que
cette protéine ne sera pas capable d'immonogénécité.
Les créateurs de plantes transgéniques répondent
que les O.G.M. sont absolument sans danger. Ils en veulent pour preuve
la mise en place d'une procédure d'homologation comparable a celle
d'un médicament. Or cette procédure d'homologation part du
principe qu'il n'y a pas de raison d'interdire son utilisation tant qu'il
n'est pas démontré qu'il présente un danger. Face
aux biotechnologies qui cherchent a s'imposer en force dans le champ de
la nutrition animale et humaine, il semblerait que les discordances entre
les partisans et les réticents résident dans le fait que
les risques évalués par les uns et les risques perçus
par les autres ne soient pas exprimés dans la même unité
de temps. En matière de transfert de technologie, il faudrait savoir
laisser du temps au temps. Ceci est aussi valable pour l'environnement
que pour la biologie. Nous avons déjà évoqué
l'environnement (dans le numéro precedent), écoutons le biologiste.
Les cellules parlent aux cellules
Les cellules communiquent entre elles, soit par contact direct, soit
par l'intermédiaire de messagers (médiateurs chimiques, hormones,
neurotransmetteurs), et de récepteurs de surface de reconnaissance
à la manière de l'agencement entre deux
éléments d'une station spatiale, ou, plus près
de nous, comme la complicité entre une clef et une serrure. Cette
reconnaissance entraîne la mise en action d'enzymes, qui sont des
protéines, dont dépendent la majorité des réactions
biologiques de notre
organisme et donc notre santé.
La vie entre par le poumon, pour l'oxygène, et par le tube digestif,
pour les aliments. Nos cellules doivent en effet ingérer des substances
nutritives essentielles et excréter les déchets métaboliques.
Le poumon et le tube digestif sont donc en première ligne
face à l'environnement. Le public connaît les méfaits
du tabac et de la pollution atmosphérique sur le poumon, mais il
connaît moins les conflits de l'alimentation et de la muqueuse digesuve.
L'alimentation moderne
L'alimentation moderne se caractérise par une consommation croissante
des produits laitiers, des huiles raffinées, des céréales
domestiques, qui sont à la fois mutées (à l'exception
du riz) et cuites et de produits alimentaires contaminés par des
additifs,
hormones, antibiotiques, pesticides et médicaments.
D'après S. Boyd Eaton (spécialiste de la nutrition préhistorique),
le capital génétique de l'homme et sa physiologie ne se sont
guère notablement modifiés depuis deux millions d'années.
Il observe que seules certaines hémoglobinopathies, l'intolérance
au
lait et quelques autres rares anomalies (comme l'intolérance
au gluten) sont les seuls exemples de modifications génétiques
dans l'évolution récente. Il est donc fort probable que nos
enzymes soient incapables de métaboliser beaucoup de ces nouvelles
molécules. Des aliments incomplètement dégradés,
une modification de la perméabilité de la muqueuse
intestinale vis-a-vis de ces macromolécules et l'hyperstimulation
des lymphocytes (cellules du système immunitaire), circulants ou
logés dans la sous-muqueuse, constituent chez des sujets génétiquement
prédisposés, les points clés de la porte d'entrée
digestive de nombreuses maladies.
De nombreuses pathologies seraient confrontées a ces conflits
auto-immuns : la polyarthrite rhumatoïde, la spondylarthrite ankylosante,
la fibromyalgie, le lupus érytémateux disséminé,
la maladie de Basedow, la sclérose en plaque, certains diabètes
insulino-dépendants... STOP (mais cette liste n'est pas exhaustive).
Alors que l'on assiste au réveil et à l'émergence
des maladies auto-immunes, alors que notre système de défense
subit de nombreux conflits avec les nouvelles molécules que lui
impose l'alimentation moderne, comment peut-on être si sûr
des résultats
de l'examen de reconnaissance que devront passer les O.G.M. face a
ce système immunitaire ? Déjà, une étude britannique
révèle, pour la première fois, la nocivité
de certains O.G.M. au Rowett Research Institut d'Aberdeen (vénérable
institution
d'Ecosse), des rats de laboratoires nourris par des pommes de terre
génétiquement modifiées, auraient leurs défenses
immunitaires affaiblies.
Entre les généticiens, à la compétence au-dessus
de tous soupçons et les médecins qui voient apparaître
de nouvelles maladies (comme cette nouvelle maladie des muscles, la myofasciite
à macrophage, inconnue jusqu'ici), le langage reste courtois mais
pas toujours fructueux.
En tant que nutritionniste, je suis sensibilisé par les problèmes
posés par cette démographie annoncée qu'il faudra
nourrir, tout en lui assurant l'équilibre nutritionnel. En tant
que médecin, je me réjouis des bénéfices que
les malades pourront tirer des
progrès de la génétique, mais reste préoccupé
par la recrudescence des maladies allergiques en général
(5 % de la population) et alimentaire en particulier (arachide, oeufs,
poissons...). En tant que spécialiste de médecine physique,
je suis confronté à ces polyarthrites et autres fibromyalgies,
maladies auto-immunes qui semblent répondre favorablement à
l'éviction de certaines protéines de l'alimentation (protéines
laitières, protéines céréalières en
dehors du riz). En tant que consommateur je suis
préoccupé par la santé de mes petits-enfants et
par les réactions de leurs organismes face a ces nouvelles molécules.
Mais il fait bien clôturer, provisoirement, ce volumineux dossier.
Alors...
Des O.G.M. pour nourrir les milliards de cellules des milliards d'êtres
humains, sont-ils une nécessite, un sursaut d'orgueil de la
science, un remake de la vache folle ? La réponse sera vraisemblablement
dans l'histoire des hommes …
Médecine Chinoise
101
Présentation générale
Contenu
1. Acupuncture, Plantes et Nutrition
2. Une approche différente
3. Le diagnostic
4. Ce que le praticien recherche
5. Les Substances Vitales (Qi,
Sang et Liquides Organiques)
6. Les Organes
7. Traitement d'acupuncture Traitement
à base de plantes
Acupuncture, Plantes et Nutrition
La Médecine Chinoise
existe depuis au moins 3500 ans. Elle nous vient d'observations du fonctionnement
de l'organisme humain, du monde animal et végétal. Des siècles
durant, les chinois ont analysé ces observations et ont élaboré
la Médecine Chinoise telle qu'elle est pratiquée aujourd'hui.
L'acupuncture, pratiquée avec succès depuis longtemps en
Occident, n'est qu'une partie de la Médecine Chinoise, celle-ci
se compose également de l'utilisation de médicaments à
base de plantes, de conseils sur la nutrition et l'hygiène de vie,
ainsi que le maintien d'une attitude mentale juste.
La Médecine Chinoise est une médecine énergétique.
Elle présume l'existence d'une énergie vitale, indispensable
à la vie, circulant partout dans le corps. Si l'énergie (la
vitalité) circule harmonieusement, il y a équilibre et santé.
L'énergie est transportée par un réseau de canaux
appelés méridiens. Ces derniers acheminent dans tout l'organisme
l'énergie servant à entretenir le cerveau, les organes, les
muscles, les os, les nerfs, les glandes et tous les autres systèmes.
Si l'électricité
est invisible, elle est cependant bien réelle ; il en est de même
pour l'énergie. On ne peut la voir mais on peut observer ses manifestations.
Ainsi dans un corps en parfaite santé, l'énergie circule
librement.
Une approche différente
La Médecine Chinoise
considère l'individu dans son ensemble avec ses forces et ses faiblesses.
Des renseignements sur le régime de vie du patient et sur ses antécédents
médicaux sont essentiels pour comprendre les causes de l'apparition
des symptômes. Le praticien en Médecine Chinoise cherche toujours
à déceler la cause initiale du déséquilibre
et doit établir un diagnostic énergétique avant de
procéder à tout traitement.
Le diagnostic
Traditionnellement, l'élaboration
du diagnostic en médecine chinoise s'établit en fonction
des " 4 temps de l'examen " : l'Observation, qui permet au praticien
d'étudier les changements généraux ou localisés
de la physionomie du patient et de sa morphologie (teint, aspect général
du corps et examen de la langue) l'Interrogatoire, qui permet d'apprendre
les circonstances d'apparition et l'évolution de la maladie ainsi
que les autres faits s'y rapportant. L'Auscultation qui permet d'écouter
le son de la voix et les divers bruits de la respiration, et finalement
la Palpation qui comprend la prise du pouls chinois et la palpation des
diverses zones du corps.
L'organisme étant
considéré comme un tout, les atteintes locales peuvent avoir
un retentissement sur l'ensemble du corps, tout comme les pathologies des
organes et entrailles peuvent se refléter sur les organes des sens,
les membres ou la surface du corps. Les 4 temps de l'examen en appréciant
les modifications de la maladie permettent d'en saisir la cause et la nature.
La synthèse de ces " 4 étapes " permet la compréhension
exacte de la maladie et l'élaboration du diagnostic.
Ce que le praticien recherche
Bien qu'il y ait de nombreuses
considérations devant être faites pour en arriver au diagnostic,
le praticien en médecine chinoise est principalement concerné
par 2 aspects ; la condition du système humoral et l'état
des organes principaux. Le système humoral est au point de vue chinois,
un aspect du corps qui est en constant mouvement et qui doit rester dans
un état d'équilibre dynamique afin d'assurer et de maintenir
la bonne santé.
Les organes de la médecine
chinoise, bien qu'identifiés par les mêmes noms qu'en médecine
occidentale regroupent davantage de fonctions et de relations qu'en médecine
occidentale.
L'Énergie, le Sang et les Liquides Organiques
La plus importante et plus mystérieuse
substance vitale en médecine chinoise est appelée " le QI
" (prononcé Tchi). Il est le composé de substances
essentielles présentes à la naissance combiné à
l'essence extraites de l'alimentation et de la respiration. Traduit souvent
par le mot " Énergie ", le Qi est un concept beaucoup plus complexe
que la sensation de bien-être ou l'idée d'énergie électrique
ou électromagnétique. C'est le Qi qui entretient le corps
et l'esprit, qui assure la résistance face aux maladies, qui maintient
les mécanismes d'homéostasie (équilibre, harmonisation),
et qui initie notre mouvement. Un mauvais état de santé peut
survenir lorsqu'il y a une déficience ou une insuffisance de Qi,
lorsque le Qi est " contaminé " par des substances pathologiques,
ou lorsque le Qi ne circule pas selon son circuit normal. Toute maladie
ou déséquilibre implique un dérèglement du
Qi.
Les 2 autres substances vitales
de l'organisme sont les Liquides Organiques et le Sang. Le déséquilibre
de ces 2 systèmes fait souvent suite à un déséquilibre
du Qi normal. Les Liquides Organiques font référence à
toutes les substances liquides et humidifiantes du corps. Il peut être
en insuffisance ; auquel cas l'individu manifestera des signes de sécheresse
; il peut être en excès ; l'individu étant congestionné,
bouffi, ou a beaucoup d'humidité à l'intérieur du
corps ; ou il peut être pauvrement distribué causant une multitude
de problèmes incluant des désordres digestifs et des enflures
localisées.
La substance vitale appelé
" Sang " s'accorde largement avec le concept du sang tel que nous le connaissons,
mais le type de problèmes qui y sont rattachés sont quelque
peu différents de ceux que nous connaissons habituellement. Le sang
peut être en insuffisance, ce qui peut causer de l'anémie,
de la fatigue, et de la dépression, ou le sang peut être chaud
ou contaminé avec des " toxines ", causant de l'inflammation et
de la congestion localisée. Le sang peut être " stagnant ",
circulant pauvrement dans une région, ou " en amas " (tel
que hématomes), causant des douleurs aiguës.
Les maladies peuvent impliquer
un déséquilibre du Qi, des Liquides Organiques ou du Sang,
ou une combinaison de ceux-ci. La procédure de diagnostic cherche
à déterminer dans quelle mesure chacun est impliqué
dans le problème de santé de l'individu, et de quelle manière
chacun s'est éloigné de sa condition normale.
Les Organes selon le concept chinois
Lorsqu'un praticien de Médecine
Chinoise parle d'un déséquilibre d'organe, il est probable
qu'il n'y ait aucune corrélation avec ce qui pourrait être
trouvé selon les méthodes d'évaluation en médecine
occidentale.
Par exemple, un diagnostic oriental
d'un déséquilibre du " Rein " pourrait correspondre davantage
à un diagnostic occidental de débalancement hormonal. Un
diagnostic oriental de déséquilibre de la " Rate " pourrait
correspondre davantage à un diagnostic occidental de problème
gastro-intestinaux. Ainsi, un diagnostic chinois concernant un déséquilibre
d'organes doit être compris dans le contexte spécifique. De
plus, la nature des problèmes décrits par la Médecine
Chinoise sont plutôt uniques : les organes pouvant être décrits
comme souffrant d'excès ou d'insuffisance (hyperfonction et hypofonction)
, de froid ou de chaleur, d'humidité ou de sécheresse etc.
Ces termes s'accordent aux syndromes décrits en Médecine
Chinoise.
Ainsi, une Rate Humide peut
se traduire par de la diarrhée ; l'insuffisance de la rate peut
être à la base d'un problème de menstruations excessives,
une Rate Froide indiquera une fonction digestive faible. Ces déséquilibres
affectant les organes sont diagnostiqués par les caractéristiques
du pouls chinois et de la langue, Traitement d'acupuncture.
L'énergie circule
de façon ordonnée dans les méridiens. Sur ces derniers,
sont disposés des points qui ont une fonction thérapeutique
spécifique. Le traitement consiste à stimuler avec de très
fines aiguilles ces points précis du corps. Cette intervention a
pour objectif de remettre en mouvement l'énergie bloquée
et de revitaliser l'organisme.
Traitement à base de plantes
Les herbes chinoises sont
répertoriés en fonction de leurs influences sur les syndromes
(tels que excès ou insuffisance, chaud et froid, humidité
ou sécheresse etc.). Les herbes sont également définis
par leurs saveurs ainsi que par les organes (selon le point de vue chinois)
qu'ils influencent. Les syndromes de nature chaude, révélés
par des symptômes tels que pouls rapide, rougeur de la langue ou
du teint, couleur foncée des urines ou des sécrétions,
soif, hyperactivité ou sensation de fièvre, sont traités
largement par des herbes qui sont classifiés comme ayant une nature
froide (rafraîchissante). Les syndromes de nature froide, indiqués
par des symptômes tels que pouls lent, pâleur du teint ou de
la langue, urines ou sécrétions de couleur claire, absence
de soif, ou sensation de froid sont traités principalement par des
herbes de nature chaude (réchauffantes).
Parce que la majorité
des gens ont à la fois une combinaison de symptômes de froid
et de chaleur, la prescription renferme régulièrement une
combinaison d'herbes de nature chaude et froide.
Les herbes qui ont une saveur
épicée sont utilisées pour traiter une condition d'accumulation
ou de stagnation, comme l'accumulation de mucosités, la mauvaise
circulation sanguine, ou la restriction du mouvement du Qi. Les herbes
qui ont une saveur amère sont souvent utilisés pour éliminer
les " toxines " et pour réduire l'inflammation et l'infection. Elles
sont utilisées lorsqu'il y a fièvre, infection, et rougeurs
localisées. Les herbes de saveur sucrée sont utilisées
pour le traitement des syndromes de déficience, généralement
observés chez les patients dont la santé est déclinante
ou fragile suite à une chirurgie ou une maladie chronique.
Les herbes de saveur salée sont utilisée lorsqu'il y a enflure
et duretés. Elles sont utilisées pour les mucosités
très épaisses, pour le gonflement des ganglions lymphatiques,
les tumeurs bénignes et abcès. Les herbes de saveur acide
ont souvent une qualité astringente et sont utilisées lorsqu'il
y a un excès de décharge des liquides comme dans les
cas d'urination excessive, de pertes vaginales chroniques, de transpiration
excessive, ou d'écoulement nasal liquide.
Lorsque le diagnostic est
posé, les herbes des bonnes catégories peuvent être
choisies et combinées entre elles pour composer une formule adaptée
à chaque situation. Les formules d'herbes sont composées
d'ingrédients entièrement naturels. Les herbes sont soigneusement
sélectionnées, puis cuites en décoction selon le procédé
traditionnel, pour être ensuite pulvérisées à
froid afin d'obtenir une fine poudre granulée.
Cette poudre se prend alors
avec un peu d'eau tiède au moment des repas. Une première
prescription est choisie pour une période d'essai initiale de 5
à 7 jours. Ensuite, un autre niveau de diagnostic est entrepris,
en fonction de l'évaluation de la réponse du patient face
à la thérapie aux herbes.
Suivant cette évaluation,
la prescription peut être continuée, légèrement
modifiée, augmentée par l'ajout d'une autre formule ou ingrédients,
ou changée complètement pour poursuivre les améliorations.
Copyright © 1998, R.Michel Jodoin, Ac. OMD pour
Institut de Médecine Chinoise du Québec
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